vendredi 16 décembre 2016

PLUS PRÈS DE BACHAR QUE DE HOLLANDE

Bachar el-Assad et son épouse (photo des dernières heures) Tout d'un coup je me trouve beaucoup plus de points communs avec ce Proche Orient incarné soudain à nos yeux par le camp qui émerge vainqueur dans la guerre civil en Syrie à l'heure où nous sommes, que des descendants ou héritiers éparpillés un peu partout hors frontières mais surtout en France -où ils forment maintenant un lobby incontestable- des vaincus de la guerre civil espagnole interminable. Dans des récentes déclarations à la presse internationale Bachar al-Assad utilisait le mot de désagrégation pour nier que la Syrie -au contrarie que l'Irak (disait-il)- soit à ses yeux un peuple « désagrégé » Est-il besoin d'affirmer par contre que la guerre civile espagnole produit une désagrégation indéniable parmi l'immigration espagnole -deuxième, troisième génération- au-dessus des Pyrénées, en Belgique et en France notamment ? Et peut-on croire que personne parmi les Belges ne s'en soit jamais aperçu du phénomène? Je ne le jamais cru dans mes trente ans de séjour (ininterrompu) ici. Malgré les faux-semblants. En France en tout cas ce n 'est pas le cas chez une gauche qui assume publiquement son rôle de parrainage et protection de ces rouges/espagnols (o rouge/espagnoles, comme la maire de Paris) Ce qui fait que me je me sente beaucoup plus près de l'oriental Bachar que de l'occidental Hollande (de beaucoup)

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