samedi 18 mars 2017

STÉPHANE MOREAU ET L'INMIGRATION ESPAGNOLE

Il y a des chiffres qui réveillent les morts. C'est le cas du million d'euros -brut, par an- qui vient de confesser dans les auditions devant la commission parlementaire du cas Publifine le principal impliqué Stéphane Moreau -qui aura avoué avoir souffert du manque d'argent (sic) beaucoup dans sa vie (....)-, dont je n'avais jamais entendu parler auparavant ce qui prouve mon désintérêt d'une certaine politique belge dont je m'aura senti victime plus qu’autre chose les trente années que j'aurais vécues en Belgique jusqu'à présent. Le socialisme en Belgique (francophone) c'est un poulpe de millier des bras et tentacules. Parmi eux et non pas les moindres, les soi-disant comités de secteurs, dont l’opinion publique entend parler maintenant -à tour de bras- pour la première fois. On en parle mais on n'explique gère de quoi il s'agissait. Et il faut lire entre lignes pour y voir clair. En fait c'est des organismes contrôlés par les partis, in casu le Parti Socialiste francophone hégémonique en Wallonie depuis la Seconde Guerre Mondiale, non décisoires -apprend-t-on- et destinés somme toutes a mettre leurs membres grosso modo devant le fait accompli ; des grosse rémunérations moyennant. Il y en avaient -come c'est le cas du dénommé Mohammed Bougnouch (voir photo) qui ne savait même pas -vient-il de déclarer- de quoi on parlait dans ces réunions. Comme des polypes cancérigènes qui parasitent le secteur publique en Wallonie. Et les syndicats en tout cela ? N'y étaient-ils pour rien ? Depuis quelque semaines ils essaient de nous le faire croire. Ils ne touchaient pas les parachutes (dorés) des autres, d'accord, il ne touchait pas rien pour autant. En trente ans en Belgique je n'acceptai jamais de m'affilier. Des espagnols arrivaient ici des cartes syndicales en main -les bonnes je veux dire (de gauche)- et dans quelques semaines les portes leur étaient ouvertes. Partout. Ce ne fut pas mon cas, ma foi ! Il me fallu des années -voir plus d'une décennie- pour atteindre certains droits dont ces Espagnols immigrés d'extraction ouvrière -et la guerre civile bien présente dans leur mémoire pour la plupart- commençaient jouir au bout de quelques semaines de séjour en Belgique à peine. Je ne le regrette pas. Pour ça je peux parler haut et fort de certains sujet maintenant. Ce que la plupart de ces Espagnols en Belgique ne firent pas, sans doute parce qu'ils ne pouvaient pas. Après tout ils étaient entre camarades (...) Comme Stéphane Moreau, malgré son million (brut) par an 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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