mercredi 31 mai 2017

DAVID IRVING UNE VIE APRÈS LA PRISON (Guerre Civile Européenne) (9)

David Irving (voir photo), l'historien révisionniste anglais -et auteur d'un ouvrage remarquable sur le bombardement de Dresde- fait parler de lui a nouveau par le lancement d'un film sur le procès qui lui avait opposé dix-sept ans auparavant à une historienne américaine à qui il avait enjoint de fournir des preuves de ses affirmations sur l'holocauste et la seconde guerre mondiale. Pour rappel, le controversé historien britannique fut condamné par un tribunal de Vienne pour négationnisme et fit treize mois (et neuf jours) de prison à titre de prison préventive -après avoir été arrêté et mise en examen dès son entrée en territoire autrichien, le 11 novembre 2005- ayant recu une peine de trois ans et demi de prison réduite à un an en appel, suite à quoi il fut immédiatement libéré (le 20 décembre 2006) Il faut dire que pendant sa détention l'historienne américaine dont le film qu'elle aura promu vient d'être porté à l'écran, demanda publiquement son relâchement soi-disant pour ne pas en faire (sic) un martyr du négationnisme. De toute évidence -et pour les raisons qui soient- elle ne se gêne nullement pour autant de lui faire de la publicité gratuite, et d'attirer à nouveau l'attention de médias sur lui maintenant Par où nous venons à apprendre, lors de la dernière interview de celui-ci, qu'il habite a présent dans un grande maison en Écosse (quarante chambres) et qu'il roule en Rolls Royce (...) et qu'il ne se soucie nullement de combien de livres il vend monde à travers, car il est assailli par « les donations » « La presse papier se meurt, et Internet est là” aura-t-il déclaré à l'adresse de “ses ennemis traditionnels”, qui ne savent plus, d'après lui, comment faire face à ce défi. Comme s'ils se trouvaient -dit-il-devant une mauvaise herbe. Et de revendiquer trois à quatre cent mails par jour d'un public très jeune (14, 15, 16 ans) au États-Unis - «  une nouvelle générations les appelle-t-il, de sceptiques de l'holocauste »- , et plus de deux cents de ses causeries circulant en YouTube. En même tempos il se déclare grand admirateur de Donald Trump et ne manque pas d’éloges envers la personne du leader du Labour non plus (« a very fine man ») » Un parti qu'il voit déchiré par les accusations d’antisémitisme. Non, il n'a pas changé David Irving, après son incarcération, contre ce que certains craignions. Ce dont nous nous rejouissons, ne soit-ce que de par la place que son ouvrage sur Dresde mérite dans la mémoire collective et dans l'historiographie. Où il racontait comme les rues de Dresde pleines à craquer de foules d'enfants à l'arrivée de la nuit, dans une ville en fête, furent les théâtre d'un éclat de rire massif, gigantesque,  enfantin, en signe de joie et de liesse, à la vue des lumières de signalisations de l'aviation anglaise. (...) Non, nous ne pouvons pas le condamner David Irving, non. Nous l'empêchent la mémoire et la vérité historiques

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