samedi 10 juin 2017

THERESA MAY ET L'AGIT-PROP

La dictature des média fait encore un pas, après avoir confisqué la candidature de François Fillon dans les élections françaises. Elle aura décide maintenant tout simplement d'inventer, de nier les faits de récrire, de remplacer la chronique de des dernier jours en particulier celle de l'actualité des élections britanniques, par une version revue à la hâte. À les entendre, Theresa May a perdu son pari. On nous rabâche les oreilles de cette chanson depuis hier, sans arrêt. On assiste effet à une offensive tous azimuts de négationnisme récalcitrant, du passé tout récent, d'il y a quarante heures à peine. Rien n'y fait. Theresa May avait beau, au lendemain de la soirée électorale émerger gagnant et en possession d'un titre de légitimité qui lui manquait jusqu'à à la veille de l'élection. Et il était plus que prévisible même avant son annonce à la sortie du palais de Buckingham qu'il lui serait aisé de former un gouvernement, soit avec les libéraux-démocrates, soit avec les unionistes protestants, cette dernière option s'étant avérée la vraie. Elle aura en plus confirmé les ministres plus emblématiques dans leur postes -comme Boris Johnson aux Affaires Étrangères, ou David Davis le ministre du Bréxit, que la premier ministre entend mener a bien » Rien a faire. L'agit-prop de la presse globale ne résigne pas. Voici un échantillon pris au hasard d'une publication digitale en langue française. L'Angleterre aura finalement copié la France. Theresa May est le François Fillon de la politique britannique.../...La différence principale -elle reste au pouvoir tandis qu'elle ne l' jamais conquis- n'est qu'apparente.../...Pour comprendre cela il faut saisir l'amplitude de son échec.../...Ce résultat est une belle revanche pour les partisans de l'UE../...Et j'en passe. Vive la journalisme fiction ! Ce qu'elle cache cette presse passée maître dans l'art d'intoxication c'est que les électeurs Britanniques n'auront pas cédé au chantage du terrorisme islamiste comme ce fut par contre le cas en Espagne lors des élections qui suivirent aux attentats du 11 mars de 2004 à Madrid. Et le grand retournement que certains médias annonçaient d'avance, à la fin n'aura pas eu lieu. God save the Queen

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