mercredi 19 juillet 2017

SOROS LACHÉ PAR LES SIENS?

La Hongrie est un grand inconnu dans la plupart des pays européens. Incrusté au cœur du continent, il se voit entouré des pays et des populations de langue et d'origines très différentes. À l'heure actuel il fait partie de l'UE et dans son sein il forme -avec la Pologne, la Tchéquie et la Slovaquie- le groupe dit « de 4”  (ou de Visségrad) qui s'opposent résolument à l a politique de Mme Merkel et des instances dirigeantes de l'ULB d'accueil massif de réfugiés. Mas c'est surtout la Hongrie et son chef de gouvernement Viktor Orban qui se voient (à nouveau) cloués au pilori de certains médias occidentaux à cause de la campagne en cours dans le pays -notamment par des affiches géantes dans les rues de Budapest ("ne lui laissez pas rire le dernier") (voir photo)- à l'encontre du milliardaire américain d'origine juive hongroise Georges Soros, l'homme par qui le scandale arrive régulièrement dans l'actualité du monde la plus brûlante depuis les origines de la crise financière mondiale en 2008 et auparavant, déjà en 2007 depuis la chute des bourses asiatiques qui en furent le prélude et dont il se vit accusé de les avoir déclenchées. Et même de bien avant, et c'est que l'homme traîne une légende d'instigateur des soi-disant révolutions "de couleurs" qui secouèrent les pays de l'Est et de l'ancien URSS et limitrophes, à partir de la chute du Mur et du démantèlement de l'Union Soviétique. Et non seulement, on voit aussi sa main dans le déclenchement des printemps arabes. La légende lui prête également avoir été le créancier de Boris Eltsine -en échange des plus savoureuses leçons de morale bien entendu- , qui succéda à Mikhaïl Gorbatchev après la chute de celui-ci. Beaucoup pour un seul homme, aussi riche, aussi puissant et manipulateur soit-il? Il est prouvé en tout cas son rôle dans l'éclosion du mouvement des indignées dans le principales capitales espagnoles en 2011, qu'il finança directement et auquel il prêta couverture médiatique à l'échelle de la planète. et un soutien logistique dans le domaine de la communication. Pour rappel, les indignés espagnols essayèrent d'essaimer en Belgique l'été 2011, venant quelques dizaines d'entre eux camper dans certains lieux publiques -des places et des parcs en particulier- de la l'agglomération de Bruxelles, à Saint-Gilles notamment, comme par hasard (...)-, avant de se faire évincer, obligés même de quitter le pays accusés d'insalubrité et d'altération de l'ordre publique, et après qu'ils n'eurent rencontré le moindre écho dans la population belge. Le gouvernement hongrois accuse Soros de vouloir installer un million de réfugies en Hongrie et les pays de l'UE. Et c'est dans ce contexte particulièrement tendu, que Viktor Orban reçoit maintenant le premier israélien Netanyahu, de visite dans son pays. Soros lâché par les siens. Ainsi titre un journal français son reportage sur la visite

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