dimanche 16 décembre 2018

LA ROYALE ET MOI

Réintégré avec tous mes droits dans la Bibliothèque Royale dont je fus expulsé ? C’est là que vient de trancher, dans ma faveur, le Conseil d’Etat, comme un cadeau de Noël, et c’est dans son arrêt du 13 décembre, jeudi dernier, ou il est décide d’annuler la mesure d’expulsion de la Royale prise à mon encontre, sous accusations de harcèlement sexuel, cela fait plus d’un an, le 6 mars 2017. Conforme à son arrêt en effet, le haut tribunal administratif belge estime quíl y a eu violation des droits de ma défense, et subsidiairement, du principe général du Droit, audi ad alteram partem, dans la mesure où je n’ai pas été à même de faire valoir (sic) mes observations préalablement à l’adoption de l’acte attaqué, et que je n’ai pas eu non plus (sic) accès au dossier sur lequel la sanction a ete fondée. Victoire ! J’ai eu gain de cause, une fois dissipés tous les fantômes hantant l’affaire, ceux notamment en forme d’avertisement d’âmes charitables, plus âgés que moi, des lecteurs de vieille date eux aussi « Surtout ne faites pas un procès à la Bibliothèque, Juan », me disait l’un d’entre eux, sachant sans doute pour quoi il m’avertissait de la sorte. Comme un écho de la malédiction reprise dans le recueil de vieux refrains espagnols (d’origine tsigane , ou mauresque celui-ci?) « Puisses-tu avoir des procès et de les gagner » (« tengas procesos y los ganes ») en allusion à peine feutrée aux désagréments et mésaventures qu’entraine fatalement ou le plus souvent une situation pareille. Loin aussi le défi (énaurme) que le mouvement féministe –et en particulier la mouvance MeToo (horresco referens!)- venait jetter dans cette affaire. Tu penses! Harcèlement sexuel (des femmes), affaire à jamais entendue, pas besoin de preuves et fi à jamais de la présomption d’innocence ! Ma parole contre la sienne, soit contre les leurs (...) Pieds et poing liés et jetté en pâture à l’opinion publique par dessus le marché. L’arrêt accepte ma demande d’annulation mais maintient néanmoins la confidentialité des certaines pièces de l’accusation (celles du "dossier administratif"), dû à mon passé pénal (sic) Peu m’en chaut ! Les salades –aussi piquantes ou épicées fussent-elles, ma foi- qu’on puisse raconter (et concocter) sur mon dos, des enfantillages et rien de plus, c’est comme cela que je vois maintenant cette affaire. N’empêche, que de me priver de droits certains -de savoir du moins de quoi on m'accuse, parbleu!-  sur base à mon passé (sic) –aussi ancien et révolu fût-il-, ne pose-t-il pas un sérieux problème? Passons. L’intendance suivra, suivra pas ? C’est la grande question qui se pose maintenant. Et si l’on peut répondre par l’affirmative, l’autre grande question s’impose, quand ? Car, après tout le scandale suscité par cette affaire, et les chambardements entrainés par lui dans l’établissement, dans la Salle de Travail notamment –deplacée desormais à mes dernières nouvelles. et de fond en comble modifiée (...)- il est clair que rien ne sera plus comme avant dans la Bibliothèque Royale. La faute à qui et à quoi?

mercredi 14 novembre 2018

RETOURNEMENT DE MARINE LE PEN

(Voici la lettre que je viens d'adresser à une de mes amitiés, un proche de Jean-Marie Le Pen)

Cher monsieur, bon jour. Je viens de regarder et écouter en caméra vidéo le discours de Marine Le Pen à Verdun, en souvenir de la fête de l'Armistice, et de la victoire francaise dans la guerre 14-18. Et je dois dire que j’en garde un goût fort amère, et un sentiment indelébile de frustration, pas tant par ce qu'il y aura eté dit mais de par tout sur quoi elle se sera tue, a bon escient, bien sûr. Sur le marechal Pétain, d'abord, qu'elle aura reussi à evacuer (sic) dans son discours. En contradiction flagrante d’ailleurs avec ce qui enseigne et prêche depuis toujours –dans son dernier « journal de bord » sans aller plus loin- son père, Jean Marie Le Pen. Et silence aussi de Marine sur l'Espagne -qui lui offrit, généreuse, refuge et accueil. à elle et aux siens, lors de leur depart de l'Algérie- et le monde hispanique dans son discours, truffé de tant de'evocations et des références à tant des peuples amis (européens). L’Espagne, certes, fut neutre dans la Grande Guerre, et les sentiments et les préférences pour l’un et l’autre des camps opposés furent considérablement partagés au sein des Espagnols. Ce qui aurait pu amener facilement en échange Marine Le Pen à se questionner, comme fit Charles Maurras, sur les raisons qui éxpliquent ce que ce dernier voyait comme une incapacité dont les Francais et et ses Alliés firent alors preuve, savoir, celle de convaincre les Espagnols dans leur ensemble, un peuple catholique et de culture latine somme toute, comme les Francais, et les Italiens, du bien fondé de leur cause et de leur combat. 

dimanche 11 novembre 2018

CENTENAIRE DU 11 NOVEMBRE, HOMMAGE AU MARÉCHAL PÉTAIN

Je ne dois pas -dans mon blog en francais- lasisser passer quelque chose qui vient d'arriver dans cette date du 11 novembre, fête nationale en Belgique, si signalée pour tous les peuples et pays européens, et aussi, également, bien que dans une moindre mesure (eu egard à la neutralité officielle de notre gouvernment dans le conflit), de nous, les Espagnols. Et encore plus signalée cette année 2018, à l'occasion du Cemtenaire de l'Armistice. Et je fais par là, tout au début, allusion a la mention honorifique qui vient d'adresser le président francais, Emmanuel Macron, en hommage au Maréchal Pétain. "Un grand soldat", vient-il de declaraer devant la protestation indignée des garants -dans les médias- du historique et politiquement correcte (suite)

mercredi 24 octobre 2018

SAINT-JOSSE, ET LE GRAND REMPLACEMENT

Saint- Josse, je connais, ne soit-ce qu’un peu. Du temps il y a quelques années dans mon parcours itinérant à travers l’agglomeration de Bruxelles, les trente et un ans que j’ai vecues ici en Belgique, où j’avais habité (pour quelques mois à peine) dans un quartier de 1000 Bruxelles, limitrophe –rue Philippe le Bon- avec cette commune conflictive (les flammes couvant dans les cendres, le moins que l’on puisse dire), par laquelle le scandale maintenant arrive, et cela aura été le jour des dernières élections communales où des choses –des tricheries e irrégularités de toute sorte- sont arrivées même dans l’isoloir (on est ici en Belgique ou dans ces republiques bananières de l’Amérique Centrale,de grands patriarches de la legende et du « boom » du roman latino americain ?), qui sont en train de voir la lumiere du jour les heures qui courent. Et un signe avant-coureur ou une étincelle (au rouge) de ce grand esclandre l’offrit peut-être la polémique eclatée au grand jour dans cette commune à la veille des elections et en pleine campagne donc, entre, d’un coté, l’échevine ten nooddoise, Zoe Genot (voir photo plus bas), militante écolo toute feu toute flammes, et figure emblematique du courant disons multiculturelle (savoir pro-immigrés) et partant hors de tout soupcon –de racisme anti-immigré, anti-turc ou du genre qui soit- , et de l'autre, le grand patron ou manitou (musulman ) de la commune –bourgmestre en fonctions- , Emir Kir (voir grande photo), à la fois figure emblematique (à commencer par son nom) de ce ghetto turc, né et grandi discrete et silencieusement et non moins sûrement dans cette commune les dernieres décennies, au prix de sa fisonomie de jadis et sous les décombres du passé et de la mémoire toujours vivante ma foi de certains de ses anciens habitants, flamands francophones (à l’origine) de preference, tels qu’Eric De Kuyper, né et grandit dan cette commune dans ces mêmes quartiers que j’aurais fequentés bien d’années plus tard, où je l’avais croisé, lui, sur les mêmes lieux justement un jour tout à fait par hasard, lorsqu’on avait echangé quelques mots aimables, evocant les temps révolus dan ces quartiers de Saint-Josse qu’il fait théâtre privilegié de ses romans –en neerlandais- inspirés dans une memoire familiale, la sienne et celle des siens, qui vient recouper à peu près celle du Bruxelles des années de la Seconde Guerre Mondiale et celles de l’occupation allemande. Une et même Bruxelles pourtant? Niet waar ! Comme disaient en guise d’annonce et d’avertissements les films de Hollywood projettés en Espagne il y a belle lurette, toute ressemblance avec la réalité n’est qu’une pure coincidence.

vendredi 19 octobre 2018

MOLENBEEK, "¿OU SONT LES FEMMES?"

L’une des séquelles –avec les discriminations flagrantes que le nom ou l’origine espagnole comporte (de facon surnoise, feutrée, non déclarée bien sûr, on est civilisé ici en Belgique), dans des occasion signalées comme dans la vie de tous les jours- du dénouement de la Seconde Guerre Mondiale et des clausules explicites et non explicites ou discrètes des accords de Yalta, l’est sans doute l’asymétrie flagrante du système politique en vigueur –ici et dans tous les pays civilisés, mais ici pour des raisons qui m’échappent (ne soit-ce qu’un peu), plus qu’ailleurs- en faveur de la gauche et et de l’extrème gauche qui, à l’heure actuelle, est mise davantage en évidence en Belgique –si besoin en était- par le traitement médiatique carrément discriminatoire et sélective face au doble phénomene qui vient de se produire en simultané, lors des récentes élections belges, de la montée de deux extrèmes (de l’échiquier), le Vlaams Belang a l’extreme droite et le PTB a l’extrème gauche, surtout dans certains communes conflictifs ce-ci, comme á Molenbeek où la formation gauchiste aura entrainé –tel que prévu- le retour aux affaires du clan Moureau (du nom de l’ancien bourgmestre socialiste, véritable dinosaure de la politique communale de l’agglomération de Bruxelles) avec la fille de l’ancien bourgemestre en tête, nouvelle bourguemestre de la commune, toute sourire, comme si rien ne s’était passé sous l’ancien mandataire dans cette comnune de Molenbeek convertie –sous son mandat précisement- en répoussoir de l’opinion publique de par l’image de commune entamée (littéralement) par la invasion silencieuse, savoir l’immigration non européenne musulmane, et image emblématique aussi –apres la serie d’attentats sauvages, oeuvre d’islamistes- de repaire des terroristes. Et de caution suplementaire de la nouvelle (et flamboyante) bourgemestre socialiste de Molenbeek, outre son nom (tître d’appartenance au clan plus qu’autre chose), vaut toujour son epoux (fidèle), socialiste comme elle, Carlos Crespo, president du MRAX –« contre le racisme et la xenophobie- et comme tel, « ayatollah du politiquement correxte », ainsi titré dans la presse belge- d’origine espanole (comme par hasard) et appartenant a la communauté issue du courant migratoire espagnole années soixante et septante, qui viennent représenter une exception flagrante en confirmation de la regle, savoir de la discrimination (non moins flagrante) dénoncée au début de ces lignes. Un Espagnol–tel que les Basques et les Catalans-, ceux issus de l’inmigration (anti-franquiste) de ces années là, pas, somme toute, comme les autres, même si ici on les prends pour l’original et non pour ceux qu’ils sont au fond, des déracinés (plus ou moins victimisées), trainant derrière eux en outre un sacré problème de mémoire (historique) –en clair, de guerre civile- qui les sépare ou les distingue fatalement du reste de leurs compatriotes. L’extrême gauche, vient de reconnaitre la principale rédacteur du journal Le Soir dans un tres sérieux editorial, est liberticide mais l’extrême droite, convaincue et convicte qu'elle est de l’inégalité des êtres humains,  et coupable de racisme (par définition) et partant, de tendances génocidaires. Plus mauvaise et plus coupable et sans pardon donc. La Liberte étant ainsi carrément (et crassément) opposée à l’Égalité et a la Fraternité, le premier terme de la trilogie sacrosainte et intouchable sort quelque peu malmené, le moins que l’on peut dire, aux dépens du deuxième et du troisième, dans la dite asymetrie et essayant de justifier l’injustifiable. Je ne veux pas néanmoins à dessein, charger davantage cette famille devenue por un instant bouc émissaire de la nouvelle situation et du nouvel état de mentalités (en état de choc apres les attentats), et je préfère les voir tels qu’ils sont, des pauvres otages d’un phénomène de societé –l’immigration sauvage-, de notre époque, qui leur dépassait pour tant de concepts, et des victimes bien sur de cette dictature feroce –mentale- qu’impose à une majorité de nos concitoyens la pensée unique et le politiquement correcte, plus forte et inéluctable encore, cela va de soi, s’il sont des mandataires publiques. Et comme illustration aveuglante de cete situation au lendemain des élections, vaut la photo prise de la nouvelle bourguemestre molenbekoise fêtant sa victoire électorale (voir photo) sous les acclamations d’une foule où l'on ne distinguait que des hommes –barbus certains d’entre eux (...)- au point qu’on n’a pas pu empecher les commentaires spontanés. « Où sont-elles, les femmes ? » Impensable, l’on conviendra, dans un autre contexte, pas musulman sous-entendu. Preuve, une de plus, d’une idéologie ambiante (et rampante) –le féminisme, l’anti sexisme et anti-machisme etcétéra, etcétéra- de géometrie (et géographie) variable. Molenbeek, une commune pas comme les autres. Dans un pays qui veut rester lui-même, malgré les apparences (et l’invasion musulmane) A bas l’Islam ! Haut et fort. Avant quíl ne soit trop tard (...)

vendredi 21 septembre 2018

MARINE LE PEN ET LA PSYCHIATRIE (ET MOI)

Marine Le Pen refuse un suivi quelconque à l'examen psyquiatrique –vache!- demandée par convocation judiciaire suite a ses tweets –déjà vieux- où elle montraient des photos (de grande crudité, parait-il), des attentats sauvages de Daesch, Armée Islamique, dont la France était alors l’objet, faisant parmi des civiles, des nombreuse victimes. Et débutant ceux-ci d’abord (nota bene) dans les boites de nuit, comme dans la guerre d’Algérie (...) La mesure dont elle est frappée maintenant (déroutante, ma foI, en extrème, et à première vue inexplicable et injustifiée) aura provoqué une forte tollée, aussi bien parmi les proches de la dirigeante du Front National (devenu Rassemblement National mantenant) comme chez certains analystes (hors de soupcon) de la presse « mainstream », garants supposés du politiquement correcte, bien sûr. Avec des allusions aux pratiques des régimes ou systèmes totalitaires, à l’archipel Goulag, etcétera, etcétera (...) qui ne sont nullement deplacées ou hors des propos, loin de là, mais qu’ils semblent creux, le moins que l’on puisse dire, aux ouïes d’un secteur d’opinion, avec la force de leur convaincre en moins, je veux dire, et c’est qu’elles manquent fatalement, ces reflexions, du poids ou la force de gravitation que donnent fatalement les arguments du vécu ou de la propre expérience, en l’occurrence, celle de l’auteur de ces lignes. Car le sentiment m’assaille une fois de plus, de servir d’avant-coureur, voire de me trouver nollens vollens a l’avant-garde ou en premier ligne du front, et c’est de la bataille d’idées ou de la guerre de propagande qui se dessine nettement derrière la chronique d’actualité la plus brulante –à la veille où nous sommes des elections europeennes-, electrifiée au surplus par les plus recents sondages qui donne coud a coud le parti au pouvoir (d’Emmanuel Macron) et le RN de Marine Le Pen. Et si l’on ajoute en plus la toute recente mise en examen –curieusement passé soigneusement sous silence des médias francais- de son père, Jean Marie Le Pen pour ses déclarations –déja vieilles aussi- sur les immigrés -suite à leur tour a d'autres siennes sur le cas de Maurice Audin-, cela nous donne la mesure exacte du défi ou du danger que l’offensive surnoise, insidieuse –davantage letal, et dangereuse ma fois- de l’actuel president francais de la République, Emmanuel Macron, pose a la position identitaire, européenne (si l’on peut l’appeler ainsi) Le spectre de la psychiatrie ou de la psychiatrisation (infondée) m’aura porsuivi inlassablement une grande partie de ma vie, à maintes reprises, en effet. Et en Belgique encore plus. La dernière occasion en date ce fut lors de ma détention devant le Palais Royal pendant la visite du roi d’Espagne Juan Carlos a Belgique en mai 2000, où je fus soumis a un examen psychiatrique en bonne et due forme d’où on dut conclure a mon bon état de santé mentale et au fait de ne pas constituer (sic) danger social, aucunement. J’avais dit le dernier exemple en date et j’aurais du dire l’avant-dernier, car il m’attendait encore un autre, un peu semblable a l’anterieur, et non moins redoutable (comme une boule puante)-les motifs (raisonables) ou la justification en moins et le cote surnois et insidieux en plus. Et ce fut lors de mon hospitalisation cela fait un peu plus d’un an, suite a l’ACV –accident vasculaire cérébral (léger)- dont je fus victime, dans le contexte d’une tres grande tension, suite a mon expulsion de la Royale sous le poids d’accusations (calomnieuses, sans preuves) de harcèlement sexuel (...) S’en suivit, de l’AVC, une expérience pénible et traumatisante, de hospitalisation à laquelle, au bout d’un mois, je mis fin, de mon propre pied et de ma propre iniative, –moyennant une declaration ("lettre de décharge") signée ou l’on assume ses propres responsabilités- ce qui est parfatement compris dans le cadre legal belge. En théorie seulement, comme il me fut, hélas, donné de constaster, a mes propres frais. Car je ne pus atteindre mon but –de sortir de la (de cette sorte d’archipel hospitalier)(...) - qu’à la troisième tentative, et au prix de devoir affranchir toute sorte de barrières et d’obstacles –por ne pas dire des barreaux (...)- émamants de la part du personnel comme de la direction. Et ce fut en réponse aux brimades de toutes sortes –aussi bien de la part des infirmières que de la direction- dont je me voyait l’objet, resultantes en partie (ce qu’il me serait aisé de prouver) du systeme de la (dite) discrimination positive (savoir, en faveur de inmmigrés), mais surtout de la volonté obstinée voire de la fixation aveugle de la part de la direction du service –la neurologue en charge, de l’Hôpital Molière- de me clouer (pour le reste de ma vie a ce qu’il parait) à une chaise roulante sous des pretextes futiles, insidieux et infondés, comme ils se sont averés par la suite, plus d’un an passé après que je m’en etais enfui de là, par mes propres pieds et à mes propres frais (....) Mais le spectre de la psychiatrisation où il est ici question –pour des motifs extra-médicaux- ressortit brutalement aussitôt après, de par le rapport que la neurologue en question s’était cru devoir d’accrocher (a mon nom) dans le catalogue des ordinateurs des réseaux –hospitaux Iris Sud- dont fait partie l’hospital Molière, où elle rend ses services. Où elle se permettait de refléxions, tout à fait deplacées inconvenientes et malvenues, sur mon passé judiciaire et sur mon refus de me soumettre (volontairement) –ce que j’assume- à des nouvelles expertises psychiatriques (non judiciaires) Sur base à des confidences soutirées -sous pression psycologique il faut supposer- de quelqu'un de mes proches. Et de toile de fond, c’était assurément le bruit fait par mon expulsion de la Royale et de motifs invoqués (...). Ceci, dans le contexte on ne pleux plus ennuyeux en outre, de la vague des suspicions et d’emoi collectif suscitée par l’irruption, alors justement (...), du mouvement Me Too, et dans le cadre d’un service, d’un secteur, de l’établissement hospitalier en question, géré (exclusivement) par des femmes, ce qui plante inmediatement le décor (...) Par où on voit néanmoins que mon cas et celui de Marine Le Pen ne sont pas tout a fait comparables, à ceci pres que cela peut lui servir absolument à titre de guide et d’orientation -ce que je n’aime pas mieux- de ce qui pourrait désormais (Dieu lui en garde) lui arriver, pour d’autres motifs et dans d’autres circonstances. Cela ne lui arrivera pas néanmoins du á sa decision de ne pas se rendre a la convocation. ¡Bien joué, Marine Le Pen !

mardi 4 septembre 2018

À BAS L'ISLAM !!!

Police de moeurs islamiques ici en Belgique? Dans la piscine Calypso (communale) -voir photo- (en Watermael-Boitsfort)? À visage découvert. Car c’est celle que j’ai fréquentée de facon reguliére (et paisiblement) une fois par semaine, dimanches et jours feriés, ces dix dernières années de mon séjour (trente ans déja) en Belgique. Et c’est au sujet de l’incident (sérieux et tout sauf banal ou anodin) ou j’aurais été mêlé et qui m’aura valu –encore !- une nouvelle expulsion dans la la liste qui menace de s’allonger –Bibliothèque Royale, ULB, Bar d’Ixelles « l’Últime Atome » (...) et qui montre carrément le problème que commence poser pour certains –peu ou prou- ma présence en Belgique et plus exactement à Bruxelles où j’ai résidé de facon ininterrompue, presque toujours dans la commune d’Ixelles, les vingt dernières années –les deux tiers donc de celles ayant rèsidé en Belgique. A bas l'Islam !!!. A visage decouvert, oui, à pleins poumons et à mes risques et perils et tant pis pour les consequences. Et n'en déplaise à Alain Soral (¡chapeau tout de même pour son courage!) C’est le cri que j’ai proferé, à cor et à cri vraiement – et « sans d’autres temoins (dans ma défense) entre le ciel et le terre » (...), et je persiste et signe- hier dimanche, lors de l’altercation aux portes de cette piscine communale, qui m’opposa -devant toute sa famille, ses frères, ses femmes et ses (innombrables) marmots- (...)-, à l’un des maîtres nageurs (musulman) de l’établissement, après (nota bene) quìl m’ait defié au duel quelques minutes auparavant en présence des tèmoins-, devant mon refus d’obtemperer a sa prohibition de poursuivre ma baignade à cause de mon maillot de bain dont il ne sut pas m’expliquer, ma foi, en quoi il enfreignait le réglement, si ce n’est pas par quelques remarques confuses sur le tissu –« coton » ou pas "coton"- de la pièce en question. Qui faisait penser ma foi à se trouver devant une police de moeurs (parallèle) visant l’observance estricte, à tout prix, de certains critères vestimentaires de nature incontestablement religieuse -et dans tous les cas de figure absoluement étrangers au réglement interne de l’établissement´-, ceci devant un maillot -pas un Bermuda attention- qu’íl jugeait de toute évidence faire une entorse au règles de la décence et des bonnes moeurs. Ce qui n’était nullement le cas, et je le defie lui ou n`importe qui à essayer de prouver le contraire. D’autant plus flagrante et discriminatoire cette imposition –fut-elle « positive » ou négative- qu'elle contraste fort avec la tolerance dont furent l’objet jusqu'íci –et dont je fus témoin- les femmes (maghrebines par règle générale) se baignant sans se couvrir la tête, en faisant ainsi cas omis de maintes affiches enjoignant le contraire, postées toujours, tout au long des murs de l’établissement. Peu importe d’ailleurs d’essayer de leur convaincre ou pas. Car le problème que pose dans les pays occidentaux l’application (stricte) de la Charia ou loi islamique se trouve justement lá, dans la sphère des comportements individuels et plus particulierèment vestimentaire, et partant dans tout ce qui touche de près ou de loin –dans cet entourage- le domaine du sexe ou de la différence des sexes (...) Ce qui fait –et suite en cela au phenomène de l’inmigration musulmane- des piscines et d’autres établissements publiques, des vrais champs de bataille, et ma foi je sais de quoi je parle. Or, ils n’ont pas le droit de faire de la police de moeurs, ni dans des piscines ni ailleurs, ceux que la loi n’habilite pour ce faire. Eh bien, je me trouve maitenant devant des faits accomplis, et c’est devant la mesure d’expulsion de la piscine Calypso qui m’est notifie par un courriel (en date d’aujourd’hui) du directeur de l’établissement, M. Pascal Duchatel -qui ne me connait pas, que je n’ai jamais rencontré dans ce longue intervale (dix ans déja !)- á mon encontre. Et qui n'a même pas pris la peine de m'écouter personnellement avant de m'expulser.Et c’est pour mon comportement  « agressif » et « xénophobe » et « ayant entendu les parties interessées ». Où il omet de m’inclure, cela va de soi (encore une fois) Pourquoi ? En raison d’être qui je suis, de mon passé, de ma nationalité ? J’étais tente de laisser les choses telles qu’elles sont a présent, mais les événemments où j’aurais été mêlé ces derniers temps –in casu, mon expulsion de la Royale- nous ont rendu (tous) beaucoup plus sérieux (Nietzsche dixit) dans les choses de l’esprit. Et les choses ne vont pas rester là, ma parole. Et c’est pour cette flagrantre violation des droits de la defense et de la presomption d’innocence à laquelle nous assistons. Assez de rester sans voix (aucune) au chapitre alors qu’on se laisse (scandaleusement) monter la tete à mes depens, qu'on leur casse -sans arrêt- du sucre sur mon dos, pour compte de mon présent ou de mon passé (convenablement médiatisé)! Dupes, dindons de la farce, une fois, mais pas tout le temps. A bas l’Islam et Vive la Belgique (fidèle a elle meme) ! Car l’Identité –to be or not to be- c’est ce qui compte. (Ou est-ce que les seuls Espagnols qui ont le droit de s’afficher identitaires en Belgique, ce sont les Catalans ?)

jeudi 30 août 2018

ARRET "SPAGHETTI" POUR DES ESPAGNOLS?

Traductions espagnol francais, chasse gardée, en possesión de certains lobbies, tel qu'íl me fut permis de l’observer les années -trente deja- ayant residé en Belgique et les études que j´entrepris tout ce temps ici. Cétait le cas bien averé pour moi de la traduction littéraire et ce qui vient de se produire maintenant postule que ce soit le cas de la traducion jurée aussi. Ce qui ne viendrait somme toute qu´à prouver quelque chose dont j’eus toujours la forte suspicion, de par des tas d’indices que je pus recolter jusquíci, c’est a dire de par tous les traducteurs jurés –espagnol-francais, et viceversa- que je pus croiser, relevant tous ou presque tous d’un milieu social –l´inmigration espagnole en Belgique années cinquante et soixante- qui se sera revelé également fermée ou hors d’accès pour moi. Un fait indeniable en effet quelles que furent les raisons ou motifs de cette exclusion (a eux de le prouver) Toujours est-il que le scandale soulevé par l’erreur de la traducion des declarations -par écrit- du juge espagnol Llarena dans son assignation en justice devant les tribunaux belges des suites de ces déclarations, met en lumière ce que je voudrais denoncer ici. Le fait de traduire la conjonction espagnole "si", en sens non conditionnel mais affirmatif peut être lourd de consequences en effet comme il s’avère maitenant. Erreur involontaire ? A eux de le prouver également. Il y va de leur credibilite et du succès, plus que garanti à ce quíl semblait, de la nouvelle opération "spaghetti" –tel qu'on pourrait l’appeler- que certains en Belgique ont de toute evidence concoctée face à ce juge instructeur espagnol comme ils l’ont fait cela fait plus de vingt ans dans l’affaire Dutroux avec le juge (belge) Jean-Marc Connerote, tel que je viens de le rappeler sur mon blog en langue espagnole. Une demande de suspicion legtitime (sic) comme celle retenue contre ce juge de Neufchateau, interposée cette fois-ci contre le juge instructeur espagnol mis en cause maintenant, Llarena, juge vedette d’une grande partie de l’opinion publique espagnole et fléau de separatistes en Catalogne, de même que des agissements subversifs ou insurrectionnels de Carles Puigdemont (refugié en Belgique) L’affaire de l’arrêt spaghetti avait fait du bruit, ma foi. Car il n’avait pas été compris –de toute evidence- par une grosse majorite de l’opinion pulique belge: difficile à comprendre en effet que d'être -ou de se sentir (les magistrats belges)- tenus  d'apprécier des charges de suspicion legitime pour un acte de solidarite –le repas du spaghetti- avec les victimes, et les exclure par contre d’office pour ce qui est du dessaisissement, pour ce même motif, d’un juge si apprecié par l’ensemble de l’opinion ici. Pas seulement d’être juste ou equitable mais de le paraitre (....) You must not only be faire but you must also seem to be fair (...) Cela vaut-il dans un sens seulement? Peu importe, diront certains. L’essentiel est que le pouvoir judiciaire en etait sorti alors, de cette affaire, et le principe de la separation des pouvoirs avec, (presque miraculeusement) sauvegardé et notablement renforcé, au prix, j’insiste, de leur credibilité, car tous n’ont pas la meme perspicacite et le meme sens democratique que M. De Montesquieu ni la meme capacite pari passu d’avaler des grosses couleuvres comme celles qu’on leur avait poposé d’avaler a cette occasion. Ils riquèrent fort en effet ces apprentis de sorcier –à commencer par celui qui avait introudut la requête en suspicion légitime, l’avocat de Dutroux, maître Julien Pierre (à gauche sur la photo)- comme je pus le temoigner de tout près, présent dans la manifestation rassemblé devant le Palais se Justice le jour même, dans l’apres-midi, du dessaisissement, qui furent sur le point d’investir l’ensmble du batiment, ce qui fut evité de justesse par la soeur (voilée) de Loubna Benaïssa, l’une des victimes, apellant au calme depuis un grand haut parleur et suivant en cela, a ne pas en douter, les instructions des policiers postés discrètement derièrre elle. Ceci, les cerveaux de l’operation montée contre le juge espagnol ne doivent pas craindre de se voir reproduire cette-fois, car la Catalogne independante émeut beaucoup des Belges –surtout des Flamands- et l’unite de l’Espagne .leur laisse de maarbre par contre, plus les Flamands que les fracophones egalement. Autant dire que pour ce qui est d’Espagne et des Espagnols touts les coups sont ici permis ou presque (sauf preuve du contraire) Quoiqu’il en soit, certains n’ont pas rougi a l’heure de dresser des comparaisons Entre le repas spaghetti et l’affirmation et defense de son propre pouvoir (judiciaire) et de sa prope jurisdiction territorielle face a des visées et des recriminations séparatistes, ce qui est, en substance tout qui peut etre reproché au plus au juge Llarena (....) On joue avec le feu avec cette histoire, le moins que l’on puisse dire, car l’opinion publique espagnole risque fort –et tous les indices vont dans ce sens- de s’insurger d´'un seul et même élan, contre l’image hostile et inhospitalaire en extrême que cette affaire, ajoutée a bien d’autres plus ou moins recents, risque de dégager che les Espagnols, à l´égard de la Belgique et des Belges, Aux frais des rapports –excellents (avec des petits intervales) jusque maintenant- entre les deux pays, et aux frais aussi de miliers de Belges retraités et installés en Espagne coulant paisblement leur vieillese là-bas pour la plupart d’entre eux (...) La Belgique, les anciens Pays-Bas, thêatre privilegi de traités (de paix) et des conferences internationales et pour ces motifs, superieure sur le terrain du droit a l’Espagne et aux Espagnols ? C'est que beaucoup ici voient l`Espagne à peine comme un chanp de bataille, ou comme un peuple peu apte pour la paix mais plutôt pour le pillage et la violence tel que cela reste fort ancré dans la Memoire collective ici depuis le temp de « la Kermesse heroique », ou bien avant, depuis les evenements historiques evoques dans le célèbre film (des annés trente) Pour la guerre et pour la guerre civile –aptes et doués ces Espagnols-, ce que pour certains Belges il est à  penser qu ce soit l’etat naturel ou « de nature » de ces gens, d’où que la guerre civile du 36 ne fut pour beaucoup ici qu’un beau film documentaire comme ceux qu'on passait dans les cinemas belges d’office ces années-là, avec succès de public garanti, bien evidemment. C’est en tout cas l’image de certains belges agés, ayant vécu de tous jeunes lors de ces évenements, et de par leurs temoignages que j’eus l’occasion de recueillir le temps ayant vecu ici. Or c’est à cela qu’on s’achemine inéluctablement dan l’affaire de líndependance de la Catalogne, même si beaucoup font semblant –très fréquent hélas ici s´agissant de l'Espagne et dea Espagnols,- de ne pas s’en rendre compte. Et à cela contribue fortement le climat de violece in crescendo en Catalogne, dont certains hors de tout soupcon s'avisent de s’inquieter et de mettre en garde aujourd´hui. Les Espagnols, Catalans ou dàilleurs, ne sont pas ni des Belges, ni de Suisses, loin de là, et un climat de haine et suspicion –et somme toute de guerre civile larvée- s'est propagé insensiblement a la faveur du référendum de sécession, où les medias de la presse globale (mainstream) réussirent le coup de force –tel que le regrettait certains observateurs de la presse francaise- de l’endosser aux seules mesures coercitives de M. Rajoy. Séparatisme seulement chez les autres, chez les Espagnols, chez les Catalans ? Et la réponse ne peut leur venir ici, helas, que des Flamands

vendredi 17 août 2018

CATALOGNE ET LA MAGISTRATURE BELGE

L’acte, en politique c’est, d’un coté, l’acte ou la mesure per se, et de l’autre, le message qu’on veut faire passer par son intermediaire, à des tiers ou à l’opinion publique. Quel message en l’occurrance veut-elle faire passer la Magistrature belge par sa decision -à la limite de la surenchère et de l`éxageration surrealiste- d'assigner en justice, rien de moins qua un juge d’instruction (síl vous plait -espagnol par dessus le marché- à la demande du leader séparatiste catalan Puigdemont et de son avocat flamand Paul Beckaert, defenseur (attitré) de terroristes ? Car il est clair que des Espagnols ici residant, et aux prises ne soit-ce qu´avec les tribunaux administratives belges (comme c’est bien mon cas, de notorieté publique) ont du mal a ne pas se sentir visés –et drôlement intimidés ma foi- par la nouvelle. De par son coté insolite et exceptionnel, de justice d'exception, en effet. A-t-on vu si non une situation semblable s´agissant d´autres pays depuis le temps –trente ans déja- que j´habite en Belgique ?

Un mise en demeure ou coup de semonce du moins ou avertissement sérieux, à tout le moins, à tous les Espagnols que residons ici, cette assignation en justice du juge Llarena (voir photo), fort apprecié et respectée par un large majorité de l'opinion publique espagnole. Et c'est de se tenir coi, de ne pas se sentir ni en sureté, -ou a l’abri des plus grossières des provocations- ni en égalite des droits avec les autres citoyens, même ceux en provenance des pays etrangers. Cést ce qui me semble voir dans la nouvelle et derrière tout un nuage d’apparences qui vont de pair avec elle. Exagère-je ? Dans un article publie sur mon blog en langue espagnole, je commente egalment cette nouvelle, et je me permets de la mettre de pair avec la figure de Leon Degrelle, dont l’ombre du souvenir hante toujours certains esprits ici. La preuve indiscutable que la guerre continue. Et avec elle, la vulnerabilite, le manque flagrant de protection des droits les plus élementaires, comme la présomption d’inocence, le droit à l´honneur et a la bonne image, à la merci –à l’heure même où nous sommes- des capagnes de lynchage ou d diffamation quelconques. Devant le manque ahurissant de preuves. Et, en echange, la Seconde Guerre Mondiale toujours en flammes, et ses suites ici en Belgique, comme le confirme o certifie la condamnation a mort qui pend toujours sur le leader rexiste, mort –de sa belle mort (á la Costa del Sol) il y a belle lurette.

On doit payer, c’est clair -et c’est pour certains ici, ce qui compte-, payer por le refuge dont jouit le leader rexiste en Espagne ce qui lui permit d’echapper a la justice répressive –des vainqueurs contre les soi-disant inciviques- jusqu’à la fin de sa vie. De s’être joué (eperduement) des plusieurs tentatives (en vain) de l’extrader, voire de le prendre en otage. Grace a la protection (solide) dont il jouit de la part des autorités espagnoles. Et l´occasion tant desirée donc du reglement historique des comptes, vient maintenant avec la tentative sécessioniste en Catalogne. Tant pis pour ce qui puisse arriver ici par la suite. Séparatisme seulement chez les autres ? Cela laisse reveur.. Mais il y en a –même chez des magistrats- qui font comme s’ìls ne se rendaient pas compte.

Dans mon article du blog espagnol je parle de « contubernio », un mot qui peut etre traduit en francais par concubinage ou alliance contre nature. Un terme du jargon politique de la presse officielle (du régime antérieur) –contubernio de Munich- cela fait des décénies. Venu a mon esprit tout à fait par hasard ou de par des resemblances ou des analogies plus qu’évidentes? Rien de moins sur, car ils me viennent a l’esprit presque à la fois les mots de Staf de Clercq –repris dans sa biographie, par Bruno de Wver, le frère de Bart et comme tel hors de tout soupcon- où il prenait des distances (en avril 1937) par rapport a ses amis de la veille, les nationalistes basques (pendant la guerre civile espagnole) Nous voulons epargner a notre peuple –dit-il alors- le drame d’un peuple catholique comme les sont les Basques, entrainé par l’aveuglement de ces dirigeants á une alliance contre nature avec les bandes marixistes (....)

Or, puissent-ils se le permetrre les Belges pour compte de l’íntégrité d'un pays qui reste pourtant si proche pour les liens de l´hisoire et bien d'autres ? On peut, c'est vrai prendre en compte –afin de le disculper- beaucoup de choses, comme le fait de se sentir –de par leur situation géographique- a la croisée des chemins ("la Belgique, une auberge et un chemin", -un camino, y un mesón- tel quélle est décrite dans la litterature contemporaine en langue espagnole) et de ce fait au centre des décisions qui lient le destin de certains pays, plus au Sud de preference. De cette vieille tradition, en suite, qui poussent les Belges –les Flamands de préférence- à se sentir (royalement) dans le droit de se mêler –à distance un tout petit peu (ma non troppo)- des affaires d’un pays dont ils hesitent toujours à reforcer les liens, ou à bien marque par contre les distances et les differences (....) Si bien qu’ils croient peut-étre (certains) l´heure venue de doner le coup de pouce décisif a l’indépendance de la Catalogne.

Profitant de la conjoncture, aussi bien sur le plan internatoinal que celui de la politique espagnole, a la faveur du changement du gouvernement et l’arrrivée au Palais de la Moncloa –siège du gouvernement espagnol- d’un mandataire socialiste qui serait moins rétif ou réfractaire aux ingerences belges dans la politique espgnole, in casu dans la situation –au bord de la reupture- en Catalogne. Et ceci grace un concubinage ou alliance contre natura de nationalistes flamands avce la gauche espagnole et les separatistes catalans, tributaires nota bene d'une memoire de gauche heritée pour la plupart de celle des vaincus de la guere civile espagnole Et en vertu –par dessus le marché- de cette vieille tradition ou routine de la politique en Belgique –que jái deja denoncée ici à maintes reprises- de chercher le compromis (« à la belge « ) aux frais toujours de l´Éspagne et des Espagnols (dans leures affaires internes) Mais ils risquent de se laisser prendre au jeu cette fois-ci, ma foi.

Car personne n’est a l’abri d’un revirement soudain de la situation politique si fréquents la-bas, ni d’un sursaut en dedans et en dehors de Catalogne, de l’opinion publique dans la Peninsule qui puisse se sentir (en fin) jouée et bafouée dans sa fierte comme peuple, das sa dignite individuelle comme colective- par des pays ou des puissances du dehors qui veulent décider à tout prix –comme toujours- de son destin, et fixer ou ímposer le devenir politique de la nation, avec son calendrier et ses feuilles de route.

Puissions-nous donc nous écrier –à l’aide d’une tirade restée memorable dans la lignée des phrases -et des discours- plus marquantes de l´histoire européenne –et tant pis si certains se sentent choquës ou scandalisés par les rassemblances ou analogies. Reveille-toi peuple espagnol secoue-toi, débarrasse toi de tes complexes et du poid de tant des cliches désobligeants, dehonorants –et maolodorants- , qui  collent à ta peau depuis si longtemps, en viguer toujours ici pour ton compte-, de tant d’échecs et des defaites –surtout en Europe-, et que la tempête (sturm) se déchaîne ! Dábord, parmi les Belges

ADDENDA (urgent) Un rappel se fait attendre de l'ambassadeur à Madrid en effet. Jusqu'à quand?

vendredi 3 août 2018

CATALOGNE ¿NATIONALISME OU HISPANOPHOBIE?

"Ahora miras a tu país y vuelves a hablar a las bestias. Pero son de otro tipo,. Carroñeros, víboras, hienas. Bestias con forma humana sin embargo, que destilan odio…/…Están aquí ante nosotros. Les repugna cualquier expresión de catalanidad. Es una fobia enfermiza. Hay algo freudiano en estas bestias. O un pequeño bache en su cadena de ADN. ¡Pobres individuos!”…./….”La última vez que vi un ejemplar de socialista catalán, ya hace muchos año mediados de los 70 del siglo pasado. Tenía nombre, llamado Josep Pallach”…/…”Las esperanzas puestas en el ejemplar Josep Pallach desgraciadamente se vieron frustradas por una muerte prematura. Aquello aceleró el final. Los cruces con la raza del socialista español fueron aumentando y aumentando hasta mutar el propio ADN de los autóctonos”…/….”Ante tanto nacionalista (español, note de la redaction) aquí hay gente que han dicho basta y, cada uno a su manera, combate por unas ideas, por un país. Gente que se ha olvidado de mirar al Sur y vuelve a mirar al Norte, donde la gente es limpia, noble, libre y culta. Y feliz”
Les textes (scandaleux) qui précèdent appartiennent -mais ils ne sont pas de son crû, une paraphrase (hispanophobe) à peine d'un écrivain et poète connu, bilingue, castillan et catalan- à Joaquin Torra (voir photo) qui a été chargé de succeder à la tête de la Generalitat (de Catalogne) a Carles Pugdemont (nommé par celui-ci même) dont la presse vint de diffuser la nouvelle de sa candidature de tête de liste de la N-VA pour les prochaines élections en Belgique. Et je me suis permis de transcrire litteralement ces textes en espagnol (castillan) car après trente ans de residence ininterrompue en Belgique je ne suis (plus) dupe, mais bien avisé de ce jeu typiquement belge de faire semblant, en s’agissant d’Espagne et des Espagnols. Et face à ce sentiment (irreprimimible) de honte d’autrui, pour commencer, devant tout ce qui puisse de près ou de loin leur rappeler si non les propres origines, sí leur prope passé –ou « période » ou  «régime »- espagnol. Lorsqu'íls entendent, par exemple, parler (en public) ma langue, et cela ne s’en va pas sans me rappeler de mes yeux les expressions (genées, narquoises à la fois) indubitables (et penibles par dessus le marché) de ces flamands avec qui jetais obligé de cohabiter pour raison de recherche d’emploi-et des « contrats sociaux »- , qui voulaient me convaincre (peine perdue) que leur compréhension (sic) pour le revindications de l’ETA et des Basque séparatistes n’avaient rien de hispanophobie, ou d'anti-espagnol (savoir, hispanophobe et raciste) Tu penses ! Lorsqu'íls font semblant –un autre exemple -flamands ou frcophones d’ailleurs- quil sont parfaitement ignares et distants (et etrangers) aux désaccords entre Espagnols, ceux derivés du fait de l’inmigration ou ceux autres (assimilés aux autres et néanmoins pires, plus irreductibles encore) derivés de la guerre civile. « N’ayant pas (eux) à se meler d’un conflit dans un pays etranger » comme il avait (sèchement) tranché à l’èpoque, Joris Van Severen, se démarquant ainsi des mouvements ideologiquement homologables partout dans le monde alors, au sujet de la guerre d'Espagne. L'exception flamande ou belgo/flamande, oh combien revelatrice -une de plus- de l´hispanofobie ou du complexe belgo/español ! (....) Et preuve de ce que je dis, l’apporte Christiane Stallaert proffesseure de l'Universié d'Anvers, hispaniste de renommée et spécialiste en « nationalisme etnique » (parmi les Espagnols) Et c’est lorsqu’elle disait que l’expression Jan Alleman (Monsieur tout le monde) n’a pas son equivalent en espagnol, que cela n’existe pas (sic) chez eux (chez nous), que dire un Espagnol et rien dire c’est la même chose, car il n’y a que des Espagnols de droite ou de gauche, c’est à dire indissociablement associés a une barrièrre (de tranchées) heritée de la guerrre civile. Bien vu en effet (1). Une autre preuve l’apporte Bruno De Wever (2), frère plus agé du dirigent de la N-VA. Et cétait dans des déclarations relativement récentes au sujet de la Catalogne où il décrivait la constitution espagnole –gran rempart contre les tentatives de secession, les plus solide et iébranlable à l´heure qu'ìl est- comme une constitution pas a part entiere. Car -venait-il dire- personne ici n’est dupe que ce ne fut qu'un arrangement ou compromis (bon marché) pour sortir du franquisme. Une originalité espagole (ou spanjole) et rien de plus, avec le (peu de) respect que cela mérite, sous-entendu. Et avec tout ce qui précède, il est aisé à comprendre que la tanscription littérale –tel que fut difusèe et publièe par la presse espagnole (Catalogne y comprise)- des déclarations –messages Tweeter pour la plupart- du successeur de Puigdemont, permettent de mieux comprendre tout ce qu’elles vehiculent de cru, d’authentique, « d’espagnol », donc de belligerant, d’irreconciliable (à première vue) et de hargneux, á des années lumiere de la douceur de vivre de ces « pays bas »-et ses confllicts linguistiques-, et toute sa force de déflagration –savoir de déchirure et de séparation, heritée nota bene de la guerre civile (qui dure encore)- sans qu’ìl n’y eut aucun besoin –pour des Belges- d’ínterprête ou de traducteur (d'espagnol) Bien sûr que non. Et devant le racisme et la xenophobie si grossiers, si primaires dont suintent les textes –flagrants scandaleux- mentionnès là-dessus, d'une personnalite si saillante de l’indépendentisme catalans, la réaction prévisible des Belges (francophones ou flamands) c'est –comme toujours- celle de faire semblant, et celle de faire comme s'íls ne savaient de rien, comme si cela ne les regardait de pres, comme s'íls n’avaient rien à voir avec des histoires d’Espagnols.  Pensez-y! Indépendance pour des autres seulement ? Vaut cela seulement chez des Espagnols ? (...)

(1): Bien vu mais un peu tard (hélas) Bien après la publication de son ouvrage –si tendancieux, bourré de préjugès (idéologiques aussi bien qu'académiques)-, "Etnisch nationalisme in Spanje" et le grand battement médiatique que cela amena et l’échange de correspondance entre nous deux dans le journal espagnol de Bruxelles, juste avant mon acte de protestation –et mon arrestation- devant le Palais Royal (mai 2000) lors de la visite du roi Juan Carlos en Belgique. Car il est fort a parier qu´elle vit chez moi alors-de ses yeux quelque peu èberluès-, un Espagnol de mentalité pas (tout a fait) comme les autres qu’elle avait croisés ou frequentés ici dan la vie de tous les jours, et au cours de sa carriére d´hispaniste en Belgique

(2): Illustratif au plus haut point en effet, ce dédouanement (habile)–de l’Espagne et ses affaires internes- de l´historien flamand. Et c’est de ce que j’appelle compromis a la belge (savoir, entre Belges) pour compte du passé espagnol ici, et en dernier ressort d’Èspagne et des Espagnols. Dans sa biographie de Staf De Clercq (1987) nèanmoins, Bruno De Wever prouve bien avoir compris –et réussi à exprimer à la fois- la vision lucide et à la fois nuancée du leader du VNV prenant distance (nette) pendant la guerre civile espagnole du nationalisme basque, alter ego des nationalistes catalans, aux yeux surtout, des nationalistes flamands (de ceux de la N-VA, comme ceux du Vlaams Belang d’ailleurs)

ADDENDA Il ne va pas non plus sans commentaire la germanophilie des nationalistes catalans –soigneusemnt passé sous silence par les medias belges plus engagés avec l’indépendance de la Catalogne. Elle avait eté montrée au grand jour par la guerre de Sécession, entre les Bourbons francais et la maison d’Áutriche, que l´historiographie en vigueur a présenté et expliqué toujours come un rejet catalan du centralisme des Bourbons et de la Monarchie absolute. Moins centraliste l’Empire des Habbourg ? Tu penses ! Et devant cete difficulté insurmontable en apparence, le principal historien contemporain du nationalisme catalan ne fit que se rendre à l’évidence –comme je le rappellais dans mon livre « Cataluña en guerra » redigé entièrement à Bruxelles, à la Bibliothèque Royale. « Oui, il faut en conclure –écrit-il, d’un ton quelque peu désabusé- les Catalans aimaient la maison d’Autriche » Il y avait en effet un fondement historique proprement ancestral à cette germanophilie (« austraciste ») dans le passé, qui remontait à l’époque –au milieu du Moyen Age (pendant la Reconquista) - où la Catalogne avait fait partie de l’Empire, la Marche hispanique. Et où ils prirent part pour leur compte à l’entreprise européenne des Croisades (la Castille et l’Aragon étant absorbés par la Reconquista, dans la Peninsule) Et ce chapitre historique catalan faisait figure ou jouait le rôle de titre de legitimité européenne, comme le rappelait l’archiduc Otto d´Habsbourg, ancien président de la Commission Européenne, lorsqu’íl s’exclama grandiloquent (et démagogique): « Enfin, les Catalans ! Presque mille ans l’Europe les attenda! », á l’occasion de la demande d’entree dans l’UE de la Catalogne comme état indépendant, fait par les indépendentistes. Mais cette germanophilie éclata surtout au grand jour lors de l’accueil enthousiaste, triomphale –et les documents graphiques ne manquent surtout pas- que les catalans reservèrent a Heinrich Himmler en 1939, dans les rues de Barcelonne, venant juste de se terminer la guerre civile espagnole. Dyalectique Nord-Sud â l’oeuvre dans le conflict catalan, tel que l’expriment le textes (hispanophobes) transcrits ci-dessus ? Soit, mais de quel Nord s’agit-il ? De la France et l’Angleterre qui l’emportèrent sur l’Espagne lors des guerres de religion, ou de l’Allemagne et l’esprit nordique qui furent pour la littérature en catalan de l´âge moderne –voir par exemple Joan Maragall- principal motif d’inspiration ? Catalogne à la croisée des chemins. Entre le séparatisme, calqué de celui des flamingants –N-VA ou Vlamms Belang- et les courants identitaires gravitant autour du Front National.

mardi 24 juillet 2018

"ME TOO" ET LES CURÉS DÉFROQUÉS

« Me Too » et ses dindons de la farce, et ses casseroles. La dernière en date c’est l'expulsion –démis de ses fonctions- du scientifique et professeur espagnol, Francisco Ayala, (voir photo) de l’Université d’Irvine en Californie où il occupait des postes de la plus haute influence et responsabilité, après avoir été l’objet d’une procédure d’investigation et de quelques quatre-vingt dénonciations (quatre-vingt), accusé d’abus et de harcèlement sexuels. L’affaire fait du bruit, normal dirait-on, aussi bien das les milieux de la dite Université que dans la presse –papier et digitale à la fois- en Espagne, son pays d’origine. « On a converti -déclare-t-il d ans la presse espagnole- mes gestes de courtoisie en accusations de harcèlement sexuel ». Choc de cultures –entre les États Unis et l’Europe où certaines des manières qu’on lui reproche sont acceptées en toute normalité ? Anachronisme dû a son âge ? Le bruit et la poussière que la polémique aura déclenchés laissent transpercer tout de même la volonté inflexible, déterminée, dans certains milieux des Etats-Unis, d’imposer certains codes de conduite et de comportement sur le plan de relations sociales, et d’exclure et de bannir d’autres qui sont vues comme propres à d’autres pays, ou à d’autres continents –l’Europe, p. ex., le double baiser dans les (deux) joues- ou comme un défi aux croyances (sic) en vigueur dans ces milieux, à entendre les déclarations sur cette affaire du recteur de l’université concernée. 

Par là oú il fait sans doute aussi allusion aux positions polémiques de ce scientifique espagnol en faveur de la théorie de l’évolution, sujet sensible s’il en est aux Etas-Unis, spécialement dans ses milieux les plus conservateurs, marqués par un fondamentalisme religieux de signe protestant qui, avec l’arrivé de Donald Trump à la présidence auront connu –après l’ère Reagan néanmoins- son plus grand essor. Et enfreignant par-dessus le marché, des postulats inamovibles dans l’argumentation concernant l’ADN –devenu comme une sorte de religion ou pseudo-religion laïque- de la propagande (de couche surtout ecclésiastique) contre l’avortement. Un trait et de la personnalité et de la trajectoire du professeur incriminé prête le flanc surtout, à mon avis, à ce genre d’accusations, et c’est le fait qu’il s’agit d’un ancien membre du clergé, ce qui plus est, un ancien moine (prêtre dominicain) sécularisé cela fait bien des années. Plus de trente (et encore plus) Peu importe, car la mémoire de l’institution -comme chez bien d’autres d’ailleurs-, est longue et elle a tout le temps devant elle, comme disait, faisant montre de cynisme éprouvé, le personnage central –un inquisiteur anglais- du "Nom de la Rose". Ainsi, ce passé, révolu à jamais, pour le propre intéresse devient fatalement le passé qui ne passe pas, prêt a lui rattraper au premier tournant, comme il lui est arrivé maintenant. À la merci par dessus le marché, de stigmatisations de toute sorte, attachées a la personne et à l’image des ecclésiastiques sécularisés, ou dans d’autres termes, des curés défroqués. 

Et particulièrement celles –qui nourrissent toujours certaines imaginations ma foi- qui les dépeignent comme des êtres sexuellement dépraves (ou pervertis ou pervers ou dévoyés). Je n’y peux rien, devant une réalité tenace dont moi-même j’aurais été témoin et victime a la fois pendant tant d'années. Aggravé en Belgique d’ailleurs par une triste chronique d’actualité judiciaire la plus brulante –les cas de pédophilie- ces toutes dernières années. Croire au scientifique accusé, ou à celles qui l’accusent ? La question n’est pas là, car en stricte procédure –judiciaire ou disciplinaire administrative- ce sont les preuves (tangibles) qui commandent. Et le manque flagrant, retentissant dans ce cas comme dans tant d’autres ne peut pas être compensé par des temoignages –toujours soumis a caution- à l’encontre de l'accusé, aussi nombreux furent-ils, loin de là. Ce qui frappe aussi c’est tout ce que ces cas auront eu la vertu de mettre en lumière et c’est entre autres le caractère secret de la procédure, qui dans le cas que nous occupe n’aura été levée qu’après le bruit médiatique déclenché par cette affaire. Fantasme de l’Inquisition (espagnole) 

Car tout se passe en effet comme si on assistait au retour du refoulé, d’un passé historique –ce qu’on appelle « la période » ou « le régime espagnol »- que les Belges ont du mal a assumer. Et je ne voudrais pas insister trop la-dessus, à dessein, conscient –ma foi- du coté sensible délicat, à fleur de peau, toujours resté plaie vive, du sujet. « L’Université se résistait a rendre publique certains témoignages à son encontre car –disait-il- ils étaient parfaitement banales » 

De même, je les enjoigne, vivement, à rendre publique ces témoignages ou preuves par écrit (sic) dont il est question dans ma lettre d’expulsion de la Royale. Car si certains en rient, de la farce je veux dire, nous voulons en rire tous, car nous en avons le droit, même des Espagnols ici, avec qui –d’après un cliché fortement ancré dans la mémoire collective belge- « en Flandres on arrêta de rire » (c’est ce que j‘appris du moins à l'ULB) Assez de farce dans cette affaire!

jeudi 21 juin 2018

DES JUIFS COLLABORATEURS DANS LE MYSTÈRE DE L'HISTOIRE (Guerre Civile Européenne) (19)

« Des années -je ne sais pas combien-  passées (et je cite, approximativement, par là, et en traduisant directement de sa langue, l’écrivain espagnol Francisco Umbral)- l´histoire devient littérature », et il se référait par là à la guerre civile espagnole. De facon analogue on pourrait epiloguer par rapport à la Seconde Guerre Mondiale, qui a eté motif d’inspiration de romans célèbres dans la littérature contemporaine. Exemple de ce derniers l’offrent les titres les plus connus de l’oeuvre de Patrick Modiano, notamment la trilogie qu’íl consacre à la Seconde Guerre Mondiale, « Place de l’Étoile » , « Ronde de Nuit » et « Boulevards de ceinture », des récits de mémoire hantés par la figure du père de l’auteur, Alberto Modiano, fils d’un juïf riche de Salonique du temps de l’Empire ottoman. Avec lui en effet passe la rampe de la censure –celle du politique et historiquement correcte je veux dire- le clisé désormais tout a fait admis par les bien-pensants, du juif collaborateur avec les Allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale, ce que le père de Modiano –tel que son fils le laisse entendre  dans ces titres par des mots à peine couverts- serait devenu en France pendant l’occupation allemande, fricotant sans scrupules avec les milieux de la Collaboration –de ceux issus directement du Milieu- et même de la Gestapo, et des SS francaises, â Paris, 93 rue Lauriston (près de l’Étoile), une adresse qui ne m’était pas tout à fait etrangère, d’anciennes lectures de jeunesse, et un nom me vient aussitot à l’esprit, celui de feu Alphonse Boudard (voir photo, en bas) maître de l’argot littéraire en langue française, qui fut mon ami et qui fit (loyalement) montre de cette amitié au plateau de TF1, en novembre 1994, lors d’un programme de "reality show", auquel je pris part et où il eut à mon egard des paroles fort bienveillantes et pleines d’empathie lorsqu’íl me compara à une figure trouble et incertaine et intéressante a la fois, celle de Paul Collette, ayant sa place sans aucun doute, dans l´histoire (francaise) de la Collaboration.

mercredi 9 mai 2018

AU NOM (ANTICHRÈTIEN) DE LA LIBRE PENSÉE

Photo, jeune, de l’allemande Ursula Haverbeck, objet d’un mandat d’arret, et arretée (manu militari) et ecrouée, ayant à purger une peine de deux ans de prison ferme, pour delit de négationnisme. A l’âge de quatre vingt neuf ans (...) La Seconde Guerre Mondiale se poursuit encore, comme la guerre civile  espagnole: la preuve, cette loi (allemande) de la Mémoire historique, comme un écho (postérieur) de son homonyme espagnole (répressives l’une et l’autre) 
Ursula Haverbeck, la « mamie » nazie objet d’un mandat d`arrêt. Et arrêtée (manu militari) et écrouée en exécution d’une condamnation à une peine de deux ans de prison ferme, pour négation de l´holocauste (juif), à l’âge de quatre vingt neuf ans. Du jamais vu et entendu. Même pas ici en Belgique. Et pareille nouvelle ne peut pas se passer de commentaire dans ce blog, quitte –c’est vrai- à ce que le ciel nous tombe a nouveau sur la tête, car il n’est pas dit et il n’est pas prouvé que le chapeau d’antisémite, lourd en effet, le soit plus a porter (injustement) que celui de harceleur sexuel –et de harceleur sexuel espagnol, par dessus le marché- ici en Belgique. Pour un délit d’opinion, et d’opinion religieuse en outre. Doublement anticonstitutionnel donc, contre le droit (certifié par la Constitution belge) à la liberté d’expression et contre le droit (également certifié) a la liberté religieuse. Quoi ? s’écrieront aussitôt certains (indignés) Religion juive de l´holocauste (Shoah) en effet, objet donc d’une croyance et pas un simple objet de recherche historique ou scientifique.

mercredi 25 avril 2018

OUBLIÉE LA RÉSISTANCE BELGE? (Guerre civile européenne) (17)

Jeux de miroirs sur la Seconde Guerre Mondiale en Belgique: ¿Qui les bons et qui les mechants, ou plutôt qui passe pour les uns et qui pour les autres ?: Pour moi, après trente ans de séjour ici, la chose es claire et ce jeu d'ímages superposèes est devenu (vite) fade et sans intéret. Celui d’une guerre de propagande – et du conte qui inevitablement va de pair, de bons et de mechants, de blancs et de noirs (ou de bruns)- poursuivie sans relache sur la Seconde Guerre Mondiale presque aussi virulente et acharnée –je dis bien presque-, que sur la guerrre civile espagnole. L’affaire était donc reglée, pour moi. Et cela explique que je ne reviens pas de ma surprise, devant le reportage, dans son dernier numéro, du principal hebdomadaire belge d’opinion et d’actualité, d’expression francophone, « l’Express-Le Vif », d'un titre on ne peut plus signficatif, avec un relent qui ne l’est pas moins, à aveu ou à autocritique. « ¿Pour quoi les résistants belges sont les oubliés de notre histoire ?" à ajouter un autre, paru un peu plus tôt dans la même publication, qui lui aura servi de préambule ou de préparation, « ¿Pour quoi tant de haine en Flandres contre la Résistance ? »

lundi 16 avril 2018

ORDRE DE YALTA EN ECHEC EN SYRIE

Lignes/rouges, inventées tout recemment, ou plutôt cachées ou enfouies dans les clausules ou protocoles plus ou moins secrets ou discrets des accords de Yalta ? Tout y amène à le penser. Et avec cela tout s'explique de la crise actuelle, où le monde entier a été mis a noveau au bord du gouffre d’une troisième guerre mondiale, lors des frappes alliées –France, Angleterre et Etat-Unis- -comme au canal de Suez- en Syrie (voir photo, sur Damas) Car ce n`est pas seulement le regime d'Ássad qu’y etait mis en question, mais surtout –voila la clé- tout l’ordre ou plutôt l’equilibre international (pour le moins bancal, comme il s’avère maintenant) imposé dans la Conference de Yalta par les vainqueurs (en 1945) de la Seconde Guerre Mondiale. Conference de Yalta, traité de Versailles (.../...)

vendredi 30 mars 2018

ALIBI CATALAN DE LA HAINE DES ESPAGNOLS

Les nationalistes flamands, la N-VA et le Vlaams Belang –« éloignez de moi cette coupe ! »- ont fait signer dans le Parlement flamand une lettre ouverte à des répresentants de presque tout le spectre politique (avec répresentation parlementaire), les socialistes (SPA) et le mouvement écologiste (Groen) y compris, en soutien de l'indépendentisme catalan et adressée au Premier ministre espagnol. Et cela me fait inévitablement penser –car mon séjour en Belgique ne date pas d’hier, ma foi- a une motion presentée dans le même hémicycle cela fait plus de vingt ans par un deputé flamand (CVP, social-chrétien), Herman Suykerbuik, en faveur de l’amnistie pour des collaborateurs de la Seconde Guerre Mondiale, vieille revidication (ou vieille rengaine) du nationalisme flamand, et ensemble avec ceci, en même temps (voici le détail piquant), en faveur celle-la aussi des volontaires belges, flamands pour la plupart -ceux-ci tous (absoluement) du coté des Rouges- de la guerre civile espagnole (...) Celle qui était assurée de la majorité de voix dans cette chambre, car elle avait certainement la vertu de contenter aussi bien la gauche que la droite flamandes, aux frais (helas!) de l’Espagne et de ses affaires internes, et de son passé non resolu en effet. Compromis à la belge, sur les cendres du passé espagnol (irrédimé) dans ces terres, et ailleurs. Voila ce que m’apprit que d’observer et de suivre l’actualité politique au jour le jour depuis mon arrivée –cela fait trente et un ans- pour fixer depuis ma résidence ici, et de mon expérience vécue même (et je sais, hélas, de quoi je parle) Et c’est ce qui vient d´être parfaitement accompli a noveau maintenant au sujet de la Catalogne. Un veritable engoument, que dis-je, une fièvre (puerperale), une passion, de l’orgasme, que sais-je, ce qui voit le jour dans certains forums o reseaux sociaux flamands pour compte de l’índependance catalane. Assez d’outrage !

samedi 24 mars 2018

WEINSTEIN ET ANTONIO BANDERAS

Weinstein –Hervé, Harvey, de son prénom-, tout le monde sait qui c’est, qu’est-ce qu’íl est, comme tout le monde le savait de Dominique Strauss Kahn, un cas (scandaleux) comparable pour tant des concepts au sien. Et de grace je ne dis –à ce sujet- plus rien. L’inventeur, c’est lui, le detonant, l'allumeur de la guerre de sexes. ¿Rien à voir l’un et l’autre coté de la personnalité du bruyant cinéaste de Hollywood, l’un et l’autre de ses aspects ? Rien n’est moins sûr, le contraire, je dirai même relève de la pure évidence.L’íllustrent ces campagnes –« balance ton porc » (and so on)- qui furent déclenchées suite aux revélations scandaleuses sur le Grand Porc (Weinstein) , le porc/attitré, numéro/un, a l’image duquel sont –nous sommes- portraité et derriére lequel (comme il faut) nous sommes alignés tout le reste (des porcs) Mais certains -cela soit dit d’entrée-, nous ne nous reconnaissons pas du tout dans ce jeu de glaces ou miroirs si sordide et suspect. N’empêche, nous nou sentons fatalement dans l’oeil du cyclon depuis un moment. Figurations genre parano, diront certains. Rien n'est moin sur non plus , et la preuve à l’appui est de l’ordre chronologique à peine : cinq mois après, presque jour pour jour, de mon eviction (« manu militari ») de la Bibliothèque Royale (de Bruxelles) accusé sans preuves de harcelement sexuel(sic)  (6 mars 2017), ce fut à peine alors (le 5 octobre 2017) que fut declenche « urbi et orbe » le scandale Weinstein et avec lui toute cette campagne tous azimuts –et dans les médias et les réseaux sociaux- sur base des plus grossière amalgames entre harcelement et ce qui ne l’est pas, d’un coté –drague insistante, maladroite (...) (and so on)-, et de l’autre, toute sorte des horreurs das le domaine de la sexualité –des crimes, des violences, des viols-, chacun plus infame plus affreux et plus éhonté et scandaleux que tout le reste. Je suis conscient en empruntant ce terrain miné, ces sentiers tortueux, des gros tabous, ma foi, entourant ce qu’íci je veux dire, ou du moins ce que je prétend. Et une illustration flagrante me l’apporte le congrès -des femmes, sur les femmes et pour les femmes- "Sexologie et Ideologie (du respect !) à l'âge de institutionalisation" en cours à l’ULB à l’instant même où je rédige ce lignes, avec le scandale Weinstein -mécène de Hillary Clinton nota bene lors des dernières présidentielles- en toile de fond, et animé –et je ne dis exprès aucun nom propre- par des intervenantes dont certaines furent melées à mon affaire d’expulsion de tout près. Acune mention nénamoins (ne fut-ce que purement verbale) en effet, n’y figure, n’y est attendre –pensez y- du cinéaste affreux par qui le scandale arrive, de qui c’est et de ce qu’il est comme personnage, du scandale et aussi de tous ces bruits de débats et congrès et campagnes de prise de conscience, de dénonciations, bref, de la guerre de sexes. Et une autre illustration en extrème flagrante l’apportent le célèbre star de Hollywood Antonio Banderas et ses récente déclarations dans le journaux de la grande presse se voyant (fatalement) questionné par l’affaire Weinstein. Une figure emblematique. Antonio Banderas, de stars cinématographiques espagnols au grand succés –au-delà des Pyrénées-et exemple suprême (et non moins piteux) des espagnols/de gauche –come une particularité ethnique voire balcanique, ma foi- qui triomphent à l´étranger et se sentant par là dans le devoir, comme un prix de péage –comme les braves lacais ou des subalternes soumis en effet quíls sont- de salir la figure de l’antérieur chef d’état pour ainsi dissiper des equivoques –et des mauvaises images superposées- et pour sauvegarder ainsi leur brilliantissimes carrières, d’emprunt d’ailleurs –soit dit en passant pour la plupart d’entre elles. « C’est avec Franco que nou etions tous coupables sauf preuve (dans l’innocent) du contraire », vient-il de déclarer maintenant. Emboitant ainsi le pas des adversaires de ces campagnes de dénonciation abjectes , mais seulement (au risque si non de ètre classé ipso facto et traité comme un porc, un porc pure/race, par dessus le marché, autrement dit, espagnol) (...), au prix de fournir illico de gages crédibles et suffisants- –d’antifranquisme, bien sûr- chez les Espagnols de Hollywood. Comme le fit d’ailleurs celui qui passe pour être –en Espagne en tout cas- son amant de plus jeune et le patron de sa (belle) carrière, Pedro Almodovar, en tirant aux boulets rouges contre le PP et Jose Maria Aznar –et non pas contre les islamistes (pensez-y !)- à Cannes, lors des attentats de Madrid (11 mars 2004) Lui demande-t-on autant dans ces milieux manitenant ? Car par là il fait éveiller fatalemen toute sorte de soupcons. D’ailleurs il laisse entendre lui-même, dans ces déclarations, de l’avoir, lui, bien connu, le dit Weinsten, et d'être beaucoup plus au parfum ou au courant qu'il ne l`avoue  de toutes ces (sordides) affaires qu'eurent dans le tout puissant cinéaste son principal protagoniste.(...) Lui aussi en somme, dans l’oeil du cyclon, Antonio Banderas, le cinéaste espagnol choyé des médias de la presse main /stream, fils d’un policier -soit dit en passant- de l’ancienne époque (...) Qui entend se racheter maintenant (encore) se caractérisant, pour son nouveau film, de Picasso (voir photo), l’icone espagnol de gauche plus vénéré au monde entier, Le sort fatal (je veux dire , le retournement, montrer, vite, patte blanche aux nouveaux maîtres du monde) on dirait des Espagnols -de droite ou de gauche d’ailleurs-, qui se risquent un jour ou l’autre au-délà des propres frontières. Vae victis. Le triste sort, la fatale destinée des vaincus –ou des perdants- pour les siécles des siécles. Car tout se passe comme si (...) (que l’on dirait suivant la clause de style marque ULB, à la mode là-dedans, dans mon époque en effet) (...) Tout se passe en effet comme si dans cette affaire ou a cause de celle-ci, certains se voient obligés de raser les murs –comm ils le font d’ailleurs depuis cinq siécles- et d’autres par contre, pas de raser les murs (pensez-y), mais de agir se croyant désormais tout permis (...) Comme de la race ou du peuple elu, depuis 1945. Eux, et nous par contre, on le voit: des « conquistadors » à des chiens battus. Jusqu’a quand serons-nous le nouveaux boucs émissaires, parbleu?

mardi 20 mars 2018

ASSAD A GAGNÉ LA GUERRE

Assad parmi les siens. La photo (ci-devant) prise lors de sa visite (éclair) aux lignes du front de la Ghouta orientale ces dernières heures vaut, croyez moi, pour le dernier bulletin (último parte) de guerre franquiste lors de la guerre civile espagnole (le premier avril 1939). Le bulletin de la Victoire. Et certains, j’en suis sûr, surtout ici en Belgique, feront comme toujours, comme d’habitude, comme si rien n’était, comme si Assad n’avait pas –en fin- gagné une guerre au sujet de laquelle tous ou presque tous, dans les medias et les classes politiques des pays ocidentaux (et surtout en Belgique) lui donnaient perdant à coup sûr, et lui augurait le triste (et macabre) sort de Moammar Gadafi, son ancien allié et ami, comme ces lycéens (des mineurs) l’annoncaient sur une affiche insidieuse (« Docteur, c’est maintenant ton tour ») plaquée dans les rues de Damas, et ayant allumé la flamme qui propagea (comme cèst ainsi toujours dans des cas semblables) le feu de la guerre civile. Et n’en parlons pas ici en Belgique, et non seulement sa classe politique, celle universitaire aussi et academique comme l’illustrait cette décision hautement politique (tel qu’elle s’avère maintenant), du recteur de l’ULB, et ancien doyen de sa Faculté de Philosohie et Lettres, Didier Viviers, d´ínterrompre à ses propres frais la collaboration scientifique et archéologique de l’ìnstitution qu`íl representait, avec la Syrie dans le cadre des programmes des fouilles et excavations des ruines d’Apamèe -pure merveille archéologique et architectonique au Proche Orient et mission belge la plus ancienne dans ce domaine (1930)-, en signe de punition ou de représailles contre le régime syrien en place, qui semblait alors sous un soeil couchant au cours de la guerre dans le pays. « Ethiquement hors de question" de porsuivre les travaux, ainsi fut-elle justifiée la suspensionn du programme belge des fouilles. De la pure langue de bois, et pari perdu hélas, il faut le crier maintenant sur tous les toits (et bien sûr à mes risques et perils) (...) Bart De Wever surprend maintenant à nouveau l’opinion publique belge et ses médias par des déclarations rétentissantes où il se sera montré aux dires des médias plus identitaire (sic) que jamais, outragés qu’il se seront sentis par des comparaisons du politicien flamand –parfaitement justes et pertinentes a mon avis et je parle de mon vécu les premières années de mon sejour ici en Belgique-, au quartier anversois des diamants (et diamantaires) entre la communauté ortodoxe juive (surtout à Anvers) et le colectif musulman en Flandres, et leurs comportements respectifs, où on lui aura retorqué que s’exprimant de la sorte il ne s’inmisceait pas moins dans la crise et les politiques du Proche Orient, comme si c’était de la chasse gardée (des tenants, sous entendu, du politiquement correct). Et comme si on mettez au même niveau (pensez-y !) le conflit (eternel) du Proche Orient avec la guere civile espagnole (et ses suites), interminables tous les deux, à cette différence près que dans le second, tout le monde –et n’en parlons pas de certains Belges- ont (on dirait) un droit de regard, ce qui est absolument exclu dans le premier des cas. On a pourtant tout à fait le droit a éxprimer son propre avis sur ce conflict ainsi que sur ses sequelles plus ou moins collatérales telle que la guerre civile syrienne. Franco et Assad. La comparaison inévitable car lópinion publique mondiale semble avoir parti pris â l’encontre de chacun des deux nommés. L’un fut entrainé –en raison de ses charges et ses hautes reponsabilités dans l’armée- à une guerre civile qu´íl n’avait nullement allumée ni préparée de quelque manière qui soit, l’autre s’était borné à resister –en reaction de legitime défense- á un mouvement insurectionnel –se répandant comme une trainée de poudre a la faveur de printemps arabes- qui voulait de toute évidence aussi bien son poste que sa tête (et sa peau) comme il s’avera être le cas du colonel lybien, sauvagement exécuté en dépit et en contravention de toutes les regles et conventions internationales. Et il avait dit résoluement non, ne pas vouloir jouer ce pion damé d’avance et placé´(nota bene) sous le stricte contrôle et surveillance de l’etat israelien. Des revoltés tous le deux, le président syrien et l'ancien chef d’état espagnol, face à des plans –de domination mondiale- qui leur passaient en survol par dessus la tête.

Alain Soral, le controversé polémiste français aux prises à la justice de son pays ce deniers jours pour des acusations de revisionisme et negationisme et xénophobie (et que sais-je encore) aura dénoncé l’éjection (sic) de Francois Fillon aux presidentielles francaises victime d’une campagne médiatique enragée des médias obieissant (aveuglement) aux ordres des garants et exécuteurs -dans la presse « mainstream » pariant tous pour Emmanuel Macron- de ce plan de domination mondiale toujours à l’oeuvre, aujourd’hui, à l’aube du troisième milennium, comme hier, au milieu des annés trente. Et ce plan de domination mondiale passe joujours fatalment par le Proche Orient et, cela va de soi, il passe aussi par le confict syrien qui se joue aussi bien dans le fronts de guerre sur le terrain que dans une guerre de propagande intermittente et interminable faisant rage ´dans le Ghouta oriental comme dans la bataille d’Àleppe et à travers les médias (main stream) du monde entier. Les vents ont changé donc.

Car le ressac du conflict syrien menacait de tout engloutir ou envahir, ma foi. Par cette vague surtout des refugies politique (mêlés a des innmigrés économiques de toute sorte) qui se etendait partout en Belgique –et n’en parlons pas d’autres pays europeens- dans la rue comme au sein de ètablissements publiques (universités et bibliothèques) Des enfants choyés par des autorités et respnsables belges de toute sorte, omniprésents, qui rien ne semblait arreter dans leurs pretensions, leur arrogance et outreuidance –et leur sectarisme et fanatisme (politique et historique et culturel et religieux à la fois) et parti pris par dessus le marché-, jusque au coup d’arret que fut –qu'on le vit bien d’ici-´le dénoument -traduit par un retentissant fiasco- de la crise des armes chimiques cela fait trois ans, lorsque la troisième guerre mondiale faillit avoir éclaté, si le president américain avait puni -comme il se vantait de vouloir le faire- le franchissement par le regime syrien des soi-disant lignes rouges. Malgre tout ca, malgre cette formidable pression médiatique, politique et diplomatique internationale, Bachar-el Assad. aura su résister un si grand défi. La nouvelle –telle que l’aurait appellée Frédérick Nietzsche- la plus terrible et plus extraordinaire de notre epoque. Assad a gagné la guerre. Bonne nouvelle !

lundi 5 mars 2018

BERLUSCONI OU L'ELÉGANCE DANS LA COUR

Berlusconi est un phenomène de société qui aura marqué le plus la politique italienne de deux dernières décennies. On a beau´l’enterrer, délivrer mille et une fois son certificat de défonction politique, en vain, il renaît avec plus de force de ses propres cendres –comme le Phoenix de l'Antiquité- que jamais, comme il s’avère être le cas maintenant. Un ami italien, d’un certain âge et d’une extraction sociologique liée indiscutablement à la démocratie chrétienne, autant dire au mobiliaire politique –décennies durant- de l’Italie de l’après-guerre-, lui reconnaissait, tout en montrant une certaine désaffection pour le personnage, l’habilité et le courage d’avoir su réíntégrer dans la vie politique italienne les vaincus en 45, heritiers ou descendents du régime fasciste de Mussolini, au risque, c’est vrai, de creuser davantage chez eux le clivage droite gauche, ce qui aura eu néanmoins l’avantage d’amenuiser en échange un autre clivage beaucoup plus nuisible, fatal et inéluctable –entre extreme gauche et extrème droite- comme celui qui sévit en Espagne du temps jadis et qui menace depuis rallumer la guerre civile´á chaque moment et aujourd´hui plus que jamais (savoir la guerre de 36) Le phénomène Berlusconi est donc un signe des temps comme l’est ausi un autre d’un caractère diamétralement oppossé, savoir la guerre de sexes –qui fait rage dans le monde d’aujourd´hui- , tel que l’aura appris à ses popres frais Nicolas Sarkozy –à qui nous avon dédié un autre article de ce blog là-dessus tout récemmnt- l’un et l’’autre estampillés dan les médias (sans remède) des modèles ou symboles d´hommes politiques sexistes (sic) –qu’est-ce que c’est ?- dans l’actualité politique de nos jours. Et Berlusconi vient de l'apprendre maitenant par l’un des incidents qui aura emaillé la journée électorale d’aujourd’hui en Italie –où lui est sa coalition de droite sont donnés nettement favoris-, où on aura vu une jeune militant féministe (FEMEN) (voir photo) lui crier -les seins nus- "sei scaduto!" (que son temps est périmé). Sans que cela eut l’air d’affecter beaucoup l’interessé d’ailleurs. Cela va sans dire que nous ne nous reconnaissons dans le vieux renard –et séducteur invétéré- de la politique italienne qu’à moitié. Un tout petit peu tout de même. De par un sentiment de solidarité irepréssible face aux campagnes de lyenchage –au sens propre comme au figuré- dont nous nous voyons être la cible tous les deux. Du fait de déplaire certaines et certains, lui qui ne semble guère s’émouvoir par la guerre de sexes déchainée autour de lui (comme un pretexte), et qui loua tantôt les « saintes paroles » de Cathérine Deneuve ´-sur « le droit d’importuner » (des hommes)-lesquelles lui meritèrent pour sa part des commentaires qui font rager la partie opposée. « Il est natural que les femmes soient contentes qu’un homme les cortise.../...l’important est que la cour reste dans l’élégance ». "Moi –ajouta-t-l comme pour agraver son cas auprès de certaines et certains- je n´ai pas trop l’habitude, car ce sont elles qui me courtisent ». Et d’en finir beaucoup plus sagement : « Le viol est un crime, mais la drague insistante ou maladroite n’est pas un délit, ni la galanterie une agresion machiste" (ou sexiste, peut-on tout de suite y ajouter) Du pur sens commun. Mais dont semblent lui tenir rigueur celles qui semblent avoir perdu le moins commun de tous les sens (le moins surtout auprès de certaines femmes?)

vendredi 23 février 2018

MARION DE RETOUR?

Marion Maréchal-Le Pen est-elle de retour? Certains médias français ainsi l’annoncent apres son intervention entre les applaudissements voire les acclamations de la foule d’assistants à un congrès sur conservatisme organisé –sous la houlette de Donald Trump- par le Parti Republicain, aux États Unis. Elle venait, dans la revue Valeurs Actuelles, justement d’annoncer la création, « d’une academie des sciences politiques », ayant pour but de « detecter et former les dirigeants de demain », et pouvant ainsi servir de « terreau où tous les courants de droite se retrouveront ». Un clin d’oeil a tous le gens de droite démoralisés et deboussolés par l’echec cinglant de Francois Fillon lors des dernières présidentielles ? Une tentative -la dernière en date- de pecher dans les eaux plus ou moins troubles de la droite/extreme (ou droite de la droite) qui voit en danger à présent son fond de commerce ideologique pour ainsi dire, c’est a dire ce qu’ils sont devenus grosso modo pour eux, le nom et l’oeuvre de ses principaux écrivains et maîtres a penser (Maurras, Brasillach, Céline, Rebatet) battus en brèche dans les médias français ces derniers jours, au centre qu’il se trouvent -ou plus exactement a l’épicentre- du contentieux qu'oppose l’actuelle ministre de la Culture, Françoise Nyssen á « Valeurs Actuelles », ayant comme toile de fond le scandale autour de Mathieu Gallet que le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel CSA) vient de démettre de son poste, et que la publication mentionnée venait d’accuser –justement un peu avant l’exclusion annoncée de Maurras du Panthéon (savoir du Livre de Commémorations officielles 2018)- de s’être melée un peu de trop de l’affaire ? Quoiqu’il en soit, Marion Maréchal-Le Pen, representante (de par ses propres mérites) de l’aile droite –« légitimiste »-au sein d’un Front National en pleine dédiabolisation, se voit maintenant propulsée -volontairement ou a son insu- au devant de la scène dans l’actualité politique francaise, bien qu’elle était déjà donnée pour certains comme morte et enterré (politiquement parlant) ¡Quelle nouvelle, bonne nouvelle ! Celle chez qui certains voyaient comme une Jeanne d’Arc (reincarnée) dans la politique française d’aujourd’hui, annonce de façon á peine voilée son retour en politique, et du coup, la France toute entière semble  envoutée par l’aura et le charme indéniable de sa nouvelle Puccelle –d’Orleans ou de Saint-Cloud, peu importe, c’est égal- comme si de par sa jeunesse, elle réussissait à conjurer toute la ringardise –et bien d’autres choses encore- qu’on associe fatalement, et à son nom et à ses idées. « Distance » voila le mot clé (comme un talisman) -en tête du reportage (sur la mode Collabo) »- du jounal Libération, de nature –au passage- à éclairer (un peu plus) aussi l’auteur de ces lignes dans ce contentieux qui l’opposa à l’ULB lors de la préparation de sa thèse sur Umbral et la guerre civile espagnole. Ce fut le seul mot intelligible en effet que je retins de l’oral (« preuve de confirmation ») qu’on m’imposa –devant le « comité d’accompagnement »- à même de justifier mon exclusion, soit l’interdiction de me reinscrire à nouveau à l’École Doctorale. Ce que je dus forcement interpreter -et pas autrement- , comme un manque de distance (sic) de ma part par rapport à`l’une de deux mémoires –celle des vainqueurs alors- affrontées sur la guerre civile espagnole telles qu’elles trasperçaient toutes les deux –en guise de cohabitation plus ou moins forcée et instable- dans les romans de l’auteur espagnol ci mentionné. Les masques semblent maintenant par contre bel et bien tombés après l’annonce de la nouvelle loi de Mémoire Historique en Espagne, nettement plus partisane, belligérante et repressive que l’antérieur où des peines de prison sont imposées pour la moindre forme de dissentiment par rapport a la Vérite Historique officielle (sic) –sur la guerre civile- que doit se charger de définir et établir une Commision de la Verité (Comision de La Verdad) de nature on ne peut plus politique (et partisane, de gauche). Qu’en pense-t-on a l'ULB ? Car on sait par trop ce qu’en pensent, en publique comme en privé, ses professeurs –et la plupart de ses éleves-, par exemple, à l’égard de la famille Le Pen